Décathlon, distributeur d’articles de sports et de loisirs est la première marque française qui veut se lancer dans la « mode » islamique, après, Nike, Gap, H&M ou Uniqlo. La marque française a annoncé, hier, sa décision de commercialiser le hidjab de running destiné aux sportives de confession musulmane, déjà vendu au Maroc. Quelques heures plus tard, c’est sous la pression que l’enseigne décide finalement d’y renoncer.
Mais si l’on examine de plus près la situation, on peut vite se rendre compte qu’en fait d’abandon, il s’agit d’un report de décision.
Avec indécence et la main sur le cœur, les responsables de Décathlon ont déclaré et je les cite : « rendre le sport accessible pour toutes les femmes du monde ». Or, nous savons tous aujourd’hui que hidjab comme burkini ou burqa sont des monuments d’hypocrisie et de fausseté. Ils sont les marqueurs politiques de l’islam fondamentaliste, une atteinte à la dignité humaine au féminin.
Pour les islamistes, cette affaire est une belle aubaine. Elle tombe à point nommé pour ceux qui contribuent à la séparation de la population musulmane dans certains quartiers, notamment dans leurs entreprises d’endoctrinement et de cloisonnement des jeunes garçons et filles.
Cette situation est très préoccupante et dangereuse. Elle représente un enjeu géopolitique pour le capitalisme mondialisé. C’est déjà le cas dans certains secteurs. L’islamisme est devenu un marché lucratif pour l’agroalimentaire, avec la viande hallal, les plats-cuisinés mais aussi dans le secteur de la cosmétique, le secteur médical comme les vaccins et le tourisme. Ne perdons pas de vue l’importance des enjeux dans la restauration scolaire mais aussi, la place de plus en plus importante de l’industrie de la mode ou du jouet qui promeut aujourd’hui la poupée Barbie voilée.
Se posent alors deux questions fondamentales :
- Va-t-on continuer à piétiner la république et la laïcité ?
- Va-t-on continuer à défigurer notre culture ?
Nous sommes confrontés à un enjeu de civilisation de taille pour contrer la progression de l’islamisme.
Il n’y a pas de place pour la résignation. Il en va de l’honneur de la France qui doit en finir avec les accommodements des communautarismes et de l’obscurantisme islamiste.
Aujourd’hui, il nous faut choisir entre la complaisance et la République une et indivisible.
C’est à ces questions que le Président de la République, Emmanuel Macron doit répondre, et ce, sans aucune ambiguïté.
Il faut défendre haut et fort la Nation, l’intérêt général, les libertés publiques et notre laïcité à la Française.