Après les attaques terroristes qui viennent d’avoir lieu à Orlando aux Etats-Unis et en banlieue parisienne où deux policiers, un homme et sa compagne ont été froidement exécutés, nous sommes tous sous le choc. Une fois de plus, la folie terrorisme a lâchement frappé.
Aujourd’hui, il n’est plus possible de parler de terrorisme sans en préciser la nature, en évitant par tous les moyens de dire carrément que la France est gangrenée par l’islamisme. A travers ces deux attentats, c’est le terrorisme islamique qui a frappé.
Les plus hautes autorités de l’État savent à quel point la situation est grave. Elles ne peuvent plus minimiser leurs propos beaucoup trop prudents. Car le phénomène islamiste ne cesse de croître. Il constitue un danger majeur qui guette notre société. Il renferme même des germes de guerre civile.
Nos populations sont exaspérées pour plusieurs raisons. C’est pourquoi un état des lieux doit être impérativement réalisé sur tout le territoire national et rendu public. C’est l’heure de vérité !
Or, nous sommes au pied du mur. L’heure n’est plus aux discours lénifiants sur l’islam. Nous savons tous que les jeunes radicalisés deviennent la proie des salafistes. Il existe un lien tellement évident entre drogue, trafic d’armes et islamisme dans de nombreux territoires en corrélation avec ce terrorisme qui soumet la France à un risque exponentiel d’attentats.
Depuis plusieurs années, nous avons tous constaté les dégâts dans les banlieues : homophobie, endogamie, brutalité envers les filles, menaces de mort pour crimes d’honneur, sexisme, antisémitisme, tandis que le racisme anti-blanc et anti-France est frappé d’omerta.
Du fait de leur nombre et d’un phénomène de concentration dans des ghettos devenus ethniques, force est de constater qu’une partie des musulmans s’est radicalisée. Disons-le haut et fort et ne tentons plus de nous soustraire à cette évidence.
Il faudrait taire ou dissimuler le fait que les territoires se renferment, sont sous contrôle, où la pratique de l’endoctrinement est de mise, où le bourrage de crâne est une pratique courante, où la loi de la charia prédomine sur n’importe quelle autre ?
Lorsque des adolescents de ces quartiers disent à leurs professeurs : « je ne suis pas français », nous sommes en droit de nous interroger sur le système éducatif et mesurer l’emprise de l’idéologie islamiste dans certains collèges. C’est dire si les dégâts sont considérables. Il est grand temps que l’école soit sanctuarisée et les gourous intégristes qui instrumentalisent l’islam et pourrissent la vie de quartiers entiers, stoppés.
La priorité de notre combat national c’est l’islamisme car il faut mettre hors d’état de nuire cette idéologie totalitaire.
S’il y a un sujet, un seul qui doit dépasser le clivage politique gauche/droite, aujourd’hui en 2016, c’est bien celui-là, pour défendre les valeurs et les idéaux de la République et de la démocratie. A moins que l’on souhaite, pour des raisons politiciennes et électoralistes, jouer les apprentis sorciers. Ce serait le meilleur service à rendre à Marine le Pen pour lui servir son fonds de commerce.
Devant la gravité de la situation et l’urgence dont elle revêt, je rêve d’un big-bang politique, à l’instar du général de Gaulle, à quelques jours de l’anniversaire de l’appel du 18 juin.
Je cherche la version du 18 juillet
RépondreSupprimereh ben!!! moi aussi...
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