mardi 27 mars 2018

Après l’attaque islamiste à Trèbes Création d’un conseil national de lutte Contre le terrorisme islamiste et le cancer salafiste


Après l’attentat de Trèbes, et au-delà des polémiques qu’il peut susciter, nous nous devons de répondre aux exigences de la population française qui se considère, à juste titre, menacée par le terrorisme islamiste.

Il est tellement aisé de balayer d’un revers de main les surenchères populistes, de rester silencieux et de nier la réalité ! Or,  comme  dit  l’adage :  « Qui ne dit mot consent ! »

Les fichiers S estimés au nombre de 20 000 sont en réalité la partie émergée de l’Iceberg.


Nous devons en finir avec l’omerta et enfin regarder en face l’islamisation radicale des jeunes générations qui est en marche. Faute de quoi, nous pourrions être considérés comme complices passifs de ces agissements.

Aujourd’hui, cette situation est intenable. Des moyens sans précédents sont nécessaires pour investir les quartiers, infiltrer les ghettos ethniques où règne la charia. Nous devons observer toutes les attitudes déviantes, que ce soit à l’école ou sur la voie publique et examiner avec soin les trafics de drogues et les mafias. J’observe que les collégiens sont de plus en plus nombreux à tenir des discours anti France et anti-blancs.

Qu’attend-on pour donner aux communes, des moyens humains et matériels à la hauteur, face à cette gangrène insidieuse qui pourrit la vie des quartiers ?

Il faut faire un état des lieux, une cartographie de cette réalité qui empoisonne la vie de la France. Nous devons prendre notre courage à deux mains et réaliser un diagnostic républicain sous l’autorité du gouvernement et de l’Assemblée nationale.

Par conséquent, nous devons créer un conseil national de lutte contre le terrorisme islamiste et le cancer salafiste

Pour un tel sujet, le clivage gauche-droite n’a pas sa place.

Un grand débat national digne de ce nom doit avoir lieu ainsi qu’une prise de conscience sur l’idéologie totalitaire qu’est l’islamisme.

Pour ce qui me concerne, j’espère que le PCF et la gauche ne manqueront pas ce rendez-vous !

mardi 20 mars 2018

L'appel des 100 intellectuels contre le « Séparatisme islamiste » - Le Figaro du 19 mars 2017

100 intellectuels de tous bords se sont retrouvés pour se mobiliser contre le communautarisme. 
Dans une tribune qui vient de paraître dans le journal "Le Figaro", ils appellent à une prise de conscience face à un islamisme qui cherche à gagner du terrain et à "passer pour une victime de l'intolérance".
Je m'associe à ce texte et vous invite à en prendre connaissance ci-dessous :

L'appel des 100 intellectuels contre le 
« Séparatisme islamiste » 


« Nous sommes des citoyens d'opinions différentes et très souvent opposées qui se sont trouvés d'accord pour exprimer, en dehors de toute actualité, leur inquiétude face à la montée de l'islamisme. Ce ne sont pas nos affinités qui nous réunissent, mais le sentiment qu'un danger menace la liberté en général et pas seulement la liberté de penser. Ce qui nous réunit aujourd'hui est plus fondamental que ce qui ne manquera pas de nous séparer demain.

Le nouveau totalitarisme islamiste cherche à gagner du terrain par tous les moyens et à passer pour une victime de l'intolérance. On a pu observer cette stratégie lorsque le syndicat d'enseignants SUD Éducation 93 proposait il y a quelques semaines un stage de formation comportant des ateliers de réflexion sur le «racisme d'État» interdits aux «Blanc.he.s». Certains animateurs étaient membres ou sympathisants du Collectif contre l'islamophobie en France et du Parti des indigènes de la République. Les exemples de ce genre se sont multipliés dernièrement. Nous avons ainsi appris que la meilleure façon de combattre le racisme serait de séparer les «races». Si cette idée nous heurte, c'est que nous sommes républicains.

Nous entendons aussi dire que, puisque les religions sont bafouées en France par une laïcité «instrumentalisée», il faut donner à celle qui est minoritaire, c'est-à-dire à l'islam, une place spéciale pour qu'elle cesse d'être humiliée. La même idée se poursuit: il paraît qu'en se couvrant d'un voile les femmes se protégeraient des hommes et que se mettre à part leur permettrait de s'affranchir.

Le point commun de ces proclamations est de penser que la seule façon de défendre les «dominés» (ce n'est pas notre vocabulaire mais celui de SUD Éducation 93), serait de les mettre à l'écart des autres et de leur accorder des privilèges.