L’incertitude juridique autour des arrêtés municipaux anti-burkini était évidente. La décision du Conseil d’Etat est, en cela, assez logique.
La question reste entière. Le burkini traduit la progression de cette contre-société sur l’asservissement de la femme.
La France est minée dans son identité et son héritage culturel est menacé par ce que j’appelle la gangrène islamiste. La loi de la charia remplace la République dans nombre de territoires où le contrôle de l’islam politique s’exerce sur la vie quotidienne et la vie familiale. On observe depuis un certain nombre d’années, l’endoctrinement, l’enfermement dès l’enfance où la haine de la France, l’antisémitisme et le racisme anti-blanc sont cultivés.
L’une des caractéristiques les plus connues est la vie d’enfer menée aux jeunes filles d’un point de vue vestimentaire et dans leur vie amoureuse et sexuelle. Elles ont interdiction d’épouser un mécréant. L’asservissement de la femme s’étale au cœur de la société. Ce sont les territoires perdus de la République.
Aujourd’hui, Nous devons faire barrage à ceux qui, dans la classe politique, par clientélisme, ferment les yeux sur l’islam politique et être à côté des musulmans qui veulent vivre avec la République.
Combattre l’islam radical se fera dans la douleur. Car l’islam doit être compatible avec la République. C’est pourquoi il se doit de respecter les règles de la Nation française. Protéger notre mode de vie qui n’est pas négociable.
Il n’y a aucune raison qu’une minorité musulmane soit dispensée des contraintes qu’ont subies, par le passé, juifs et chrétiens.
Comme pour le voile il y a de cela 30 ans, le burkini les français n’en veulent pas.
C’est au législateur d’avoir le dernier mot. Dans ce rapport de forces, la République est à l’épreuve. Elle doit être défendue sans complexes et avec fierté.
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