Interviewée par Mathieu Bock-Côté pour "Le journal du Canada", Caroline Valentin, coauteure du livre "Une France soumise, les voix du refus" aux éditions Albin Michel, s'est livrée sans détours aux questions du journaliste
La France est le théâtre principal de l’offensive islamiste en Europe. En disant cela, on ne pense pas seulement aux attentats qui ont marqué les deux dernières années, mais à la formation sur le territoire français d’une véritable contre-société qui ne dit pas son nom et se désaffilie de plus en plus de la nation. Abandon des élites, censure de l’identité française, insécurité culturelle et physique, multiplication des accommodements déraisonnables à l'école ou à l'hôpital : c’est pour analyser et dénoncer cet avachissement que paraît ces jours-ci le livre Une France soumise: les voix du refus, chez Albin Michel, sous la direction de l’historien Georges Bensoussan, en collaboration avec Charlotte Bonnet, Barbara Lefebvre, Laurence Marchand-Taillade et Caroline Valentin. L’ouvrage rassemble une série de témoignages et d’analyses (j’ai le bonheur d’y publier un texte) pour nous donner une vision d’ensemble de cette soumission française. Caroline Valentin m’a fait l'honneur de m'accorder un grand entretien absolument remarquable sur cet ouvrage majeur, qui marquera les consciences, et qui permet de réfléchir sérieusement à la situation de la France, à l’abri des poncifs médiatiques habituels qui trop souvent, nous embrument l'esprit.
Caroline Valentin, vous faites partie de l’équipe qui a dirigé la publication du livre Une France soumise, les voix du refus » parue le 18 janvier 2017 aux éditions Albin Michel, sous la direction de Georges Bensoussan. Permettez-moi d’abord une question simple :
Caroline Valentin, vous faites partie de l’équipe qui a dirigé la publication du livre Une France soumise, les voix du refus » parue le 18 janvier 2017 aux éditions Albin Michel, sous la direction de Georges Bensoussan. Permettez-moi d’abord une question simple :
A quoi ou à qui la France est-elle soumise?