L'actualité est terrifiante, un professeur d’histoire a été décapité par la terreur islamiste quelques jours après les annonces du président Macron aux Mureaux dans les Yvelines, lors duquel il prononce des mots tels que « islam radical » et annonce des mesures pour lutter contre le séparatisme islamiste. Un projet de loi de circonstance sera présenté le 9 décembre en Conseil des ministres, après la tuerie terroriste de janvier 2015 dans les locaux de Charlie Hebdo et le nouvel acte terroriste à Paris, devant les anciens locaux, en plein procès de l’attentat de 2015 contre l’hebdomadaire satirique.
La frontière de l'abominable vient d'être franchie. Mon intime conviction politique est que le PCF doit s'exprimer haut et fort contre le danger de l'islam politique qui se traduit une nouvelle fois en déclaration de guerre. Il doit le faire sans hésiter et ainsi répondre de façon durable aux classes populaires aujourd'hui désorientées, désabusées, perdues par la cacophonie politicienne qui s'éternise depuis trop d'années. Macron s’est vu obligé d'agir devant la gravité de la situation avec l'emprise de l'islamisme sur une partie de la jeunesse issue de l'immigration. Mais il tente d'enfermer, de verrouiller le débat à un tête-à-tête avec Marine Le Pen. Cet espace est occupé principalement par le R, un peu par la droite. Mais pour la gauche, c'est soit la défausse soit le déni.
ON A PLUS LE DROIT DE DIRE AUJOURD'HUI « JE NE SAVAIS PAS » !